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BILAN DE LA 4E SAISON DES JARDINS GAMELIN

30 novembre 2018

Texte principal du billet

Le 30 septembre dernier, le Partenariat a clôt la 4e saison des Jardins Gamelin. Carrefour de rencontres humaines et culturelles riches, ils constituent un milieu de vie quotidien.

Au-delà de l’expérience citoyenne que les Jardins permettent de vivre, l’ambiance de cette année a reflété la diversité de la cohabitation entre tous les publics. Quant à son animation, elle illustrait la diversité artistique montréalaise avec, entre autres, plus de 200 artistes représentant 25 communautés culturelles, et une programmation réunissant 46 partenaires et plus de 600 artistes, toutes disciplines confondues.

Voici un portrait de l’année à travers le regard de cinq acteurs de la réussite des Jardins Gamelin

« Parvenir à réellement refléter le pouls de Montréal aux Jardins Gamelin, c’est la concrétisation de quatre années de travail. Véritable lieu de rendez-vous multiples pour les Montréalais et les visiteurs, les Jardins ont tenu leur pari en présentant cette année la grande diversité artistique de la métropole à une mixité de publics en plein centre-ville. Le Partenariat du Quartier des spectacles est très fier de cette quatrième saison et remercie avec chaleur et enthousiasme les partenaires de toutes les sphères d’activité des Jardins, qui permettent à cette initiative d’exister et de grandir. »


« Cette année, nous avons accueilli une dizaine de spécialistes en agriculture urbaine, répondu à des milliers de questions sur le sujet et partagé environ 230 kilos de récoltes avec la population. Nous sommes fiers d’avoir contribué à briser les barrières entre les différentes communautés présentes aux Jardins et les sensibiliser à l’environnement dans un cadre urbain. »


« Proposer des activités extérieures aux Jardins Gamelin nous amène à innover et à adapter nos propositions pour composer avec la météo, de même que la spontanéité et la diversité des publics. C’est un défi emballant et un réel privilège d’offrir des activités artistiques permettant aux enfants d’avoir accès aux arts dans une proximité et un espace citadin unique. »


« Pour sensibiliser les personnes marginalisées, les citoyens et les touristes aux nombreux bienfaits d’une cohabitation saine et respectueuse de la réalité de chacun, nous avons assuré une présence quotidienne à la place Émilie-Gamelin. Notre objectif : que tous s’y sentent en sécurité et profitent de la magnifique programmation – et des beautés des Jardins ! Et c’est réussi ! »


« La musique adoucit les mœurs, dit-on. Je crois qu’elle permet d’inclure tout un chacun, quelle que soit son origine culturelle ou sociale. Aussi, lors d’un concert, le temps s’arrête et les spectateurs oublient leurs soucis quotidiens. C’est ainsi que j’ai abordé mes prestations aux Jardins Gamelin : avec l’envie d’offrir aux gens un moment de rencontre et de décrocher des tracas. »

Pour le bilan complet des Jardins Gamelin, consultez le communiqué de presse ici.

Consultez l’article, Transformer un « No man’s land » d’Isabelle Paré paru dans les pages société du Devoir, le 9 octobre dernier ici.

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